Fêtes et fautes mineures.
Posté par bifaceb le 16 mai 2012
- D’abord qu’avait il besoin de revenir en avion privé le dimanche 6 au soir ? Sa présence était elle nécessaire en Corrèze dans la journée, et le soir à la Bastille ? Pourquoi ne pas fêter là où on vote ? Toujours cette idée des hommes politiques d’être partout indispensables…
- Ensuite qu’avait il besoin de prendre un politique anciennement condamné comme PM ? Il n’y avait donc aucune « pointure » disponible sans casier ?
- Enfin, cette cérémonie de passation de pouvoirs, avec ces trois entorses à l’élégance :
- pas un mot dans le discours sur les « années sarko », la crise non citée…
- le Président nouveau qui revient au plus vite après avoir salué son prédecesseur, sans prendre le temps de le voir sortir de la cour.
- et ce déjeuner avec uniquement les anciens premiers ministres de gauche, comme si on fêtait plus la victoire d’un camp que le rassemblement d’un peuple à travers les vicissitudes des 20 dernières années… Juppé, Raffarin, de Villepin, Fillon, n’auraient pas fait pâle figure à côté de Mauroy, Fabius, Rocard, Cresson, Jospin… un dialogue avec eux pourraît même être ne pas être totalement inutile…
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