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bureaux en open space

Posté par bifaceb le 28 février 2015

 

cet écran sur mon ordi, cet après-midi !

Pub humoristique ciblée

ou pub par le hasard déposée ?

 

bureaux flexiibles

 

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macroski

Posté par bifaceb le 24 février 2015

Le dimanche, il ne bosse pas, il skie.
on comprend pourquoi il était pressé la semaine dernière,
il voulait avoir le temps de profiter de la neige !

Emmanuel Macron avec un skieur. Crédits photo: Jon_33 / Twitter

LE SCAN POLITIQUE – Après une semaine difficile, le ministre est allé prendre l’air dans les Pyrénées.

Quelques jours de répit en montagne. Après une semaine compliquée, marquée par l’adoption au forceps de sa loi sur l’activité et la croissance, Emmanuel Macron s’est offert une pause de quatre jours sur les pistes de ski de La Mongie, près de Bagnères-de-Bigorre, dans les Pyrénées. Lundi, il s’est laissé prendre en photo au côté d’un skieur, qui s’est empressé de poster le cliché sur les réseaux sociaux.

 

 

 

 

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discount

Posté par bifaceb le 22 février 2015

 

 

vu hier le film Discount.

d’après le  Synopsis « Pour lutter contre la mise en place de caisses automatiques qui menace leurs emplois, les employés d’un Hard Discount créent clandestinement leur propre « Discount alternatif », en récupérant des produits qui auraient dû être gaspillés… »

En fait il y a dans le film plus de vol, de filouterie, de lutte des classes que de problématiques gaspillage/récup.

Pourtant ce sujet est d’actualité :

Le Figaro il y a 19 jours.
« Trois jeunes squatters « Freegan » sont jugés ce mardi à Montpellier pour avoir volé de la nourriture dans les poubelles du supermarché de Frontignan.Ils vont être jugés pour avoir volé de la nourriture dans des poubelles.
Trois jeunes gens comparaissent à partir de mardi au tribunal de Montpellier pour «soustraction de denrées périssables à date de péremption dépassée», un délit qui est considéré pénalement comme un vol et qui rappelle le scénario du récent film Discount. »
Plusieurs groupes militent activement pour que ne soit plus un délit la récupération de denrées jetées, plus ou moins périmées.
Nos ministres Ségolène Royal et Emmanuel Macron seraient bien inspirés de préparer une loi pour permettre
récupération, réutilisation, recyclage  à tous les étages !

 

Publié dans économie politique société démographie, la politique au quotidien, misc | 1 Commentaire »

macronneries

Posté par bifaceb le 22 février 2015

Comme la plupart d’entre nous, je n’ai pas lu toute la loi Macron, mélange de mesures scories de la commission Attali, des tiroirs de Bercy, et d’initiatives de Montebourg.
Un catalogue de micro économie, pourquoi pas ?
Il y a deux mesures emblématiques qui me semblent vraiment loin de mes valeurs de progrès.
D’abord le transport par bus, la libéralisation du secteur du transport intervilles en car. On annonce dix mille emplois à créer.
J’y vois pour ma part plusieurs inconvénients.
- D’abord l’aspect écologique et environnemental.
Il paraît que les « nouveaux autocars » ne polluent plus, sont sobres, sans particules, etc…
Je demande à voir tant l’expérience me montre que, pour convaincre, on s’accommode parfois d’un bon biais avec la réalité.
et, malgré tout, on reste dans l’accroissement de la consommation d’énergies fossiles !
en tout cas, cela signifie plus de bus sur les autoroutes, les routes, dans les villes, …où seront les gares routières ? quand on voit celle de la porte de Bagnolet, à Paris, on peut être inquiet. Et il faudra investir pour les construire…
- Dix mille emplois, mais où va-t-on trouver ces chauffeurs ? Le métier de conducteur de poids lourd peinait déjà à recruter en France et le transport en commun de personnes exige un mode de vie, une hygiène de vie, qui peuvent en dissuader plus d’un. Faudra t il parler français pour être chauffeur d’un bus de transport de passagers ?
-Ces autocars paieront-ils via les taxes à l’essieu ou la TIPP, les taxes municipales, leur contribution à l’investissement et l’amortissement du réseau routier qu’ils utiliseront ? Quand on voit les difficultés à imposer une taxe sur les transports de marchandise…
- Là où les infrastructures ferroviaires existent, sont opérationnelles, ne peut-on vraiment pas faire circuler des trains « low cost», avec un niveau de confort aligné sur celui des bus, développer les  » ouigo »,
- Le covoiturage se développe : mieux exploiter les flux circulant faiblement remplis sur le territoire, en faire une activité économique « normale », en matière de fiscalité et d’impôts, développer plusieurs offres de covoiturage, voilà qui me semble plus porteur qu’ajouter des bus sur nos routes et dans nos villes.
Mais évidemment, ces deux solutions : plus de train et de covoiturage ne correspondent pas au schéma conceptuel traditionnel : il faut des compagnies capitalistes sur ce marché du transport, et non des entreprises publiques, ou de l’économie du partage.

Ensuite le travail le dimanche.
- Là aussi impact écologique négatif : plus d’énergie consommée, sans compter la « marchandisation » de notre semaine entière…
- Mais aussi contrainte pour les salariés, dont je n’ai toujours pas compris qui serait compensé et combien, s’il y avait une limite de la durée de travail le dimanche…
- Le passage de 5 à 12 dimanche serait anodin, je pense au contraire qu’il est significatif : les 5 dimanche étaient tournés autour des fêtes de fin d’année, les 12, le nombre est clair, occupe toute l’année et sera demain 24, et plus à chaque occasion : le MEDEF le demandera, et un gouvernement suivant y accédera, se basant sur le fait que 12 est arbitraire, etc…
- On nous l’a peu dit : les pays voisins, comme l’Allemagne, la Grande Bretagne, l’Italie et l’Espagne ont des législations plus contraignantes sur le dimanche…

Conservons au mieux notre vie sociale du dimanche, cultuelle ou culturelle, limitons ce jour là les horaires de travail, tous secteurs confondus, laissons nous la place de vivre !

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macron planning

Posté par bifaceb le 22 février 2015

 

 

J’ai enfin compris aujourd’hui le pourquoi du déroulé de cette semaine sur la loi dite Macron.
Pourquoi cette loi de micro mesures a t elle nécessité l’usage, pour la première fois depuis 2006 (le CPE !)
de cet article qui bride l’expression démocratique, du fameux article 49.3 ?
On savait qu’il fallait donner quelques gages à la Commission, dont Pierre Moscovici, qui examine actuellement et durant tout le mois de mars, le budget 2015, mais pourquoi tant de hâte ? Pourquoi ne pas avoir pris le temps de faire voter cette loi en comptant ses soutiens,
quitte à détacher éventuellement les articles posant problème qui auraient pu faire l’objet d’un vote séparé:
le travail le dimanche, les transports par autocar…
mais, non il fallait faire vite, voter la loi jeudi pour…
pour des raisons de nécessité absolue, pour avoir le plaisir d’entendre Mme Merkel, opportunément de passage à Paris,
se féliciter du vote de cette loi, le lendemain vendredi :
il fallait faire avaler cette loi pour l’aval allemand !
soit dit en passant, en Allemagne, peu de commerces sont ouverts le dimanche,
le système des notaires n’est pas celui proposé par cette loi, Mme Merkel le sait, et se tait !
et Valls qui dit « siffler la fin de la récréation »,
quel mépris pour nous tous qui n’avions pas l’impression, depuis le début de l’année, d’une récréation !

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loi micron

Posté par bifaceb le 21 février 2015

 

 

C’est une loi de mesures microéconomiques censées développer, « doper » la croissance,
même si chacun est bien en peine de chiffrer les résultats espérés.
Disons que c’est un catalogue de micromesures, dont certaines ont une portée symbolique :
professions réglementées, autocars, déjà évoqués sur ce blog,
et travail du dimanche, dont personne ne croit vraiment qu’il soit un enjeu économique,
mais qui est clairement un marqueur idéologique.

Après tous ces débats sur le travail le dimanche,
je n’ai toujours pas bien compris qui sera concerné, qui sera compensé, et comment,

j’espère y voir clair d’ici la fin des débats parlementaires, mais cela reste confus entre les zones,
les tailles d’entreprise, 
les secteurs concernés, ou non, les accords de branche ou d’entreprise…
J’ai peur que le nouveau système ne soit pas plus équitable que le précédent !

et l’article 49.3 pour couronner le tout !
comme si le gouvernement ne voulait pas d’abord compter ,
scinder éventuellement ensuite, comprendre les positions, puis éventuellement voter, et re-voter !
quel manque de confiance dans l’argumentation, la conviction !
la loi micron faisant office de détonateur majoritaire !

 

et, cerise sur le gâteau, Mme Merkel vient à Paris et,
au détour d’une phrase, exprime sa satisfaction du vote la loi Macron !
je trouve cela totalement inadapté, impoli, bref inacceptable !
et elle a oublié de nous rappeler qu’en Allemagne, on travaille fort peu le dimanche,
et que les horaires d’ouverture des commerces, régulés par les lander, sont assez restreints !

 

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dette, grèce, brèche ?

Posté par bifaceb le 4 février 2015

 

 Comment va être gérée au niveau européen la question du changement de politique économique annoncé en Grèce ?

Quelques points qui me semblent importants :

  • les grecs disent vouloir sortir de remboursements confiscatoires et de l’austérité,
    les gouvernements créanciers affirment ne rien vouloir lâcher
    il y a entre les deux un sacré fossé, il faut discuter !
  • la dette grecque  atteint 175% du PIB du pays, peut-elle être remboursée ?
    j’ai essayé de trouver des exemples de pays en excédent budgétaire pour voir à quel % du PIB il avait pu se monter,
    avec une vision historique et mondiale.
    pas trouvé. ou j’ai mal cherché, ou les journalistes éco font mal leur boulot.
    j’ai trouvé la Suisse, L’Allemagne, la France en 1960 (!) en excédent budgétaire d’environ 1%
    pendant des périodes de temps extrêmement limitées.
    même si cet excédent comprend le paiement d’intérêt de la dette  (que j’évalue à 2% du PIB maxi)
    j’aboutis à une capacité d’excédent budgétaire primaire (net des intérêts), de 3%.
    j’imagine mal, on imagine mal, personne n’imagine la Grèce remboursant pendant plus de cinquante ans
    un montant de 3% du PIB pour solder  progressivement sa dette.
    celle ci ne sera donc jamais intégralement remboursée, mais à un moment simplement, en partie abandonnée.
    quand ? quand l’économie grecque aura redécollé, que les européens seront plus coopératifs,
    qu’ils auront moins l’impression de se faire berner, qu’il y aura une opportunité….

 

  • la proposition des grecs d’indexer le remboursement sur la croissance est intéressante, logique,
    car elle lie le remboursement à la capacité à le faire, et à son acceptabilité
    (et historique, l’Allemagne a bénéficié de telles clauses lors de la remise partielle de dette de 1953).
    un tiers de la croissance pour les créanciers en remboursement, deux tiers pour les grecs : raisonnable ?
    une proposition complémentaire serait de baisser encore les taux d’intérêt de la dette grecque,
    à 2%, ils représentent encore 3,5% du PIB, ce qui n’est guère supportable.
    à 0,2 %,taux auquel les banques ont accès,  avec 0,35% du PIB, cela semble acceptable,
    et on ne touche pas au nominatif de la dette, pour éviter tout effet de brèche dans la forteresse des dus…

 

  • quelles conditions pour qu’un tel accord puisse être trouvé ?
    de la volonté, de la bonne volonté de chaque côté…
    Les créanciers ont intérêt, pour percevoir leurs intérêts, et pour éviter les effets domino d’une faillite
    à ne pas étrangler le pays, d’autant qu’il a aujourd’hui, semble t il un solde primaire positif:
    il paye plus à l’extérieur ( y compris les intérêts) qu’il n’emprunte, il est peut-être devenu une ressource !

    Mais sans doute faut-il que le gouvernement grec fasse preuve de prudence dans sa politique de relance
    et n’ouvre pas trop fort les vannes de la dépense publique qui augmentent une dette qui ne sera jamais payée !

    Les prêteurs y seront sensibles, même s’ils comprennent qu’un peu de relance est politiquement nécessaire :
    il y a eu des engagements électoraux, et ce serait psychologiquement utile, car cela donne confiance, un  élément de la croissance,
    et économiquement justifiable dans le cadre d’un keynésianisme assumé et maîtrisé.

 

 

 

 

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12,5 : piège électoral

Posté par bifaceb le 2 février 2015

 Hier, élection législative partielle dans le Doubs, après la démission de Pierre Moscovici.
je m’intéresse ici aux règles prévues par le code électoral plus qu’au contenu politique.

Les chiffres officiels de la préfecture (donnés dans le Figaro à la fin de son « live »)

par des gens qui ne se relisent guère, ou ont manqué une compétence d’arithmétique :
33 % d’abstention, 40% de votants… c’est quoi les autres ?

dans le même genre : entre la ligne avant les résultats, et celle après, on a gagné une voix ,
de 25709 à 25710 ! je me souviens avoir recompté des dépouillements pour cela !

Les résultats des élections législatives partielles de la 4ème circonscription du Doubs, qui se sont déroulées dimanche 1er février 2015, sont les suivants (sous réserve de validation par la commission de recensement des votes qui se réunira le 2 fevrier 2015) :
Département 25
Siège à pourvoir 1
Nombre %
Inscrits : 66825
Abstention : 22174 / 33,18 %
Votants : 26436 / 39,56 %
Blancs : 446 / 1,69 %
Nuls : 281 / 1,06 %

Exprimés : 25709 97,25 %

Résultat des candidats :
(Par Ordre des panneaux)
Candidats / Voix /% exprimés
1 M. Jean-Claude BONNOT/ 152 / 0,59%
2 M. Alde VINCI / 315 / 1,23 %
3 M. Frédéric BARBIER / 7416 / 28,85 % (PS)
4 M. Marc O / 40 / 0,16 %
5 M. Charles DEMOUGE / 6824 / 26,54 % (UMP)
6 M. Ismaël BOUDJEKADA / 137 / 0,53 %
7 M. Vincent ADAMI / 941 / 3,66 %
8 M. Michel TREPPO  /404 / 1,57%
9 M. Bernard LACHAMBRE / 799 / 3,11%
10 M. Yannick HERVÉ / 147 / 0,57 %
11 M. Nicolas ROUSSEAUX / 26 / 0,10 %
12 M. Antonio SANCHEZ / 127 / 0,49 %
13 Mme Sophie MONTEL / 8382 / 32,60 % (FN)

Total : 25710 suffrages exprimés

 donné par l’Est républicain, c’est mieux

Voici les chiffres définitifs communiqués par la préfecture du Doubs

Inscrits: 66825
Abstention: 40 389 soit 60,44% des exprimés
Votants: 26436 soit 39,56 % des exprimés
Blancs: 446 soit 1,69 % des votants
Nuls: 281 soit 1,06 % des votants
Exprimés: 25709 soit 97,25 % des votants

Les résultats officiels

Sophie MONTEL (FN): 8382 voix, 32,60%
Frédéric BARBIER (PS): 7416 voix,28,85 %
Charles DEMOUGE (UMP): 6824 voix,26,54 %
Vincent ADAMI (FdG-PCF-PG-NPA-MRC): 941 voix, 3,66 %
Bernard LACHAMBRE (EELV): 799 voix, 3,11%
Michel TREPPO (LO): 404 voix, 1,57%
Alde VINCI (PF): 315 voix,1,23 %
Jean-Claude BONNOT (Fédéraliste): 152 voix, 0,59%
Yannick HERVÉ (UPR): 147 voix, 0,57 %
Ismaël BOUDJEKADA (Indépendant): 137 voix, 0,53 %
Antonio SANCHEZ (Communistes): 127 voix, 0,49 %
Marc O (Indépendant): 40 voix,0,16 %
Nicolas ROUSSEAUX (Indépendant): 26 voix, 0,10 %

 

Depuis 2003, la règle de qualification au second tour des législatives est « Lors des élections législatives, ne peuvent se maintenir que les candidats ayant obtenu les voix d’au moins 12,5 % des inscrits ou, à défaut, les deux candidats arrivés en tête. »
Notons que l’idée derrière cette modification de 2003, PR Chirac, PM Raffarin, était de rendre plus difficile la qualification au second tour des candidats FN, que l’UMP et le PS n’avaient pensé être « troisième candidat », derrière le FN et l’autre,
ce qui a été le cas pourtant dans beaucoup des législatives partielles depuis deux ans.
Vraiment, une erreur de prévision, un manque de vision !!

Ici les trois premiers candidats ont obtenu respectivement 12,54 % 11,1 % 10,3% des inscrits. Le deuxième est donc qualifié pour le second  tour « par défaut ». Si la barre de qualification pour le second tour, au lieu d’être fixée à 12, 5 % des inscrits était à 10%, ou, ce qui semble plus logique, fixée à 25 % des votants (comme avant 2003), on aurait une triangulaire représentant mieux le paysage politique !

Cette règle électorale est étonnante, aberrante : faire porter les conséquences de l’abstention aux seuls vaincus, sans interroger la légitimité des vainqueurs me semble une anomalie électorale (on pourrait imaginer que, par exemple, pour être élu, un candidat doive avoir au moins 15% des inscrits au premier tour, ce que n’a aucun ici !) .

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